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L'essor de l'IA et son impact révolutionnaire sur les entreprises, la société et la culture africaines ont été au cœur des discussions le dernier jour (2 juin) de GITEX Africa 2023 (www.GITEXAfrica.com) au Maroc, alors que des experts du monde entier se sont réunis pour débattre et faire progresser la nouvelle technologie transformationnelle qui est désormais au centre des débats mondiaux.
Si des dizaines de personnes, dont les dirigeants d'OpenAI et de Google Deepmind, ont soutenu des déclarations mettant en garde contre les scénarios catastrophes potentiels liés à l'IA, y compris l'extinction de l'humanité, d'autres spécialistes ont déclaré que les craintes liées à l'IA étaient exagérées.
Une chose est sûre : L'IA est en passe de devenir le prochain grand changement technologique mondial, tandis qu'en Afrique, elle a la capacité de transformer la façon dont les entreprises sont gérées et les sociétés fonctionnent. Plus important encore, selon Mustapha Zaouni, Président d'AI in Africa, le continent explore actuellement l'IA pour résoudre des problèmes urgents tels que la pauvreté, le chômage et l'inégalité.
"Bien que l'Afrique soit confrontée à des défis uniques, tels que la disparité de l'accès à l'internet, elle adopte progressivement l'IA", a déclaré M. Zaouni, qui a participé au GITEX Africa AI Summit sur le thème de l'IA générative responsable.
"L'état de préparation varie d'un pays à l'autre, et il est nécessaire d'investir dans les infrastructures, l'éducation et l'élaboration de politiques pour exploiter pleinement l'IA. Garantir un accès équitable à la technologie et réduire la fracture numérique sont des étapes cruciales pour préparer l'impact de l'IA en Afrique. »
Simon See, Responsable mondial du Centre technologique Nvidia AI à Singapour, et autre intervenant aujourd'hui, a déclaré qu'avec les investissements et les politiques appropriés, l'IA peut aider l'Afrique à atteindre ses objectifs de développement et à améliorer la vie de ses habitants.
"En Afrique, la demande de compétences en IA devrait augmenter de 36 % entre 2020 et 2025", a déclaré M. See, dont la société Nvidia, basée aux États-Unis, fabrique des puces spécialisées dans l'IA, avec une valeur de marché qui a brièvement dépassé les 1 000 milliards de dollars américains cette semaine.
"Cette croissance est tirée par la jeune population du continent, ainsi que par ses investissements dans les start-ups et l'innovation. La croissance de l'IA crée de nouveaux emplois en Afrique, car les entreprises cherchent à embaucher des experts pour les aider à développer et à mettre en œuvre des produits et des services alimentés par l'IA."
Élever les talents africains au premier rang d'une nouvelle main-d'œuvre mondiale
Selon M. See, l'Afrique en est encore aux premiers stades de l'adoption de l'IA, mais l'intérêt pour cette technologie ne cesse de croître sur le continent : "Plusieurs pays africains ont élaboré des stratégies nationales en matière d'IA, et un certain nombre de start-ups et d'instituts de recherche travaillent sur des projets liés à l'IA", a-t-il déclaré.
Adel Alsharji, Directeur de l'exploitation de Presight, une société d'analyse de données basée aux Émirats arabes unis, a prononcé le discours principal sur l'impact sociétal de l'intelligence artificielle lors du GITEX Africa AI Summit, l'une des dix conférences organisées dans le cadre de l'inauguration de GITEX Africa, le plus grand salon de la technologie et des start-ups du continent, qui se tient à Marrakech.
M. Alsharji a déclaré que l'Afrique est la deuxième région du monde qui connaît la croissance la plus rapide en matière d'adoption de l'IA : "Le parcours de l'Afrique en matière d'IA s'accélère, et ces progrès mettent en évidence la volonté du continent d'explorer et d'exploiter le potentiel de l'IA pour stimuler la croissance économique et relever les défis locaux, pour le plus grand bien de ses habitants", a déclaré M. Alsharji, ajoutant que la demande d'emplois liés à l'IA sera multipliée par deux au cours des trois prochaines années.
"Une étude du McKinsey Global Institute prévoit que l'IA pourrait ajouter 13 000 milliards de dollars à l'économie mondiale d'ici 2030, tandis que le nombre d'emplois liés à l'IA dans la seule Afrique devrait augmenter de 200 % d'ici 2025."
M. Zaouini, dont l'association AI in Africa est une organisation à but non lucratif visant à donner à la jeunesse africaine les moyens d'un avenir inclusif en matière d'IA, a conclu qu'en Afrique, l'IA devrait être considérée comme un outil permettant de sauter les étapes traditionnelles du développement tout en élevant les talents africains au premier rang d'une nouvelle main-d'œuvre mondiale.
"L'impact sociétal africain de l'IA est immense, car elle révolutionne notre façon de travailler et de vivre", a conclu M. Zaouini. "Après l'internet, la deuxième révolution a probablement été le dilemme social, mais l'IA est une révolution encore plus importante que toutes les autres.
Une solution de technologie de la santé alimentée par l'IA transforme les dons de sang en Afrique
GITEX Africa, qui se termine aujourd'hui (2 juin) dans la ville rouge de Marrakech, a rassemblé pendant trois jours des milliers de participants de 120 pays, tous désireux de nouer des contacts et de développer des relations d'affaires significatives avec les 900 entreprises et start-ups exposantes réparties dans 10 halls et sur 45 000 m² d'exposition.
L'IA et son impact multisectoriel considérable étaient également évidents sur le plancher d'exposition, de nombreux exposants montrant comment le boom de l'IA stimule les vagues d'innovation dans tous les secteurs, de l'éducation à l'agriculture, en passant par les transports, le commerce de détail, l'énergie ou la logistique.
BetaLife, une start-up nigériane primée, a incarné ce mouvement dans le secteur des soins de santé. La plateforme basée sur le cloud et alimentée par l'IA connecte les hôpitaux et les banques de sang à l'aide d'algorithmes avancés, assurant un flux efficace de produits sanguins vitaux pour les patients qui en ont besoin.
Mubarak Ayanniyi, le fondateur et PDG de 21 ans, a déclaré que le plus grand avantage de Betalife est sa capacité à analyser des données abondantes via un algorithme alimenté par l'IA qui prédit avec précision quand, où et en quelle quantité les dons de sang sont nécessaires, orientant ainsi les ressources et allouant les dons en cas de besoin, ce qui permet finalement de sauver un nombre incalculable de vies.
"BetaLife a révolutionné la gestion des dons de sang en Afrique", a déclaré M. Ayanniyi. "Au lieu de s'appuyer sur des processus manuels, les hôpitaux et les banques de sang utilisent désormais BetaLife pour prévoir quand et où les dons de sang sont le plus nécessaires. Cela a conduit à une distribution plus efficace des produits sanguins, réduisant le gaspillage et garantissant que les personnes qui en ont le plus besoin reçoivent le traitement salvateur dont elles ont besoin".
GITEX Africa est placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et organisé par l'Agence de Développement Numérique (ADD), sous l'autorité du Ministère Marocain de la Transition Numérique et de la Réforme de l'Administration.
L'hyper connecteur est organisé par KAOUN International, la société d'organisation d'événements à l'étranger du Dubai World Trade Centre, qui organise GITEX Global à Dubaï, aux Émirats arabes unis, le plus grand salon de la technologie et des start-ups au monde, considéré par les dirigeants du secteur comme le meilleur événement technologique mondial.
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A 48 heures du début des examens à grand tirage, la ministre de l’Education nationale et de l’alphabétisation, Prof. Mariatou Koné a exhorté, ce samedi 3 juin 2023 depuis Bouaké (centre ivoirien), la communauté éducative nationale à se détourner de la facilité et à faire preuve de responsabilité.
Source:Top News Africa
Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement a donné son feu vert à une prise de participation de 20 millions de dollars dans le Fonds d’accélération des investissements en infrastructures I d’Africa50, à l’appui de son objectif de mobiliser des capitaux privés pour les infrastructures à travers le continent.
Fonds panafricain de capital-investissement dans les infrastructures, le Fonds d’accélération des investissements en infrastructures I d’Africa50 mobilise jusqu’à 500 millions de dollars pour des investissements et la création de valeur dans les infrastructures stratégiques. Il s’agit notamment de l’électricité, de l’énergie, des infrastructures numériques et sociales, des transports, de la logistique, de l’eau et de l’assainissement.
Le fonds est parrainé par Africa50, une plateforme d’investissement dans les infrastructures lancée par des gouvernements et la Banque africaine de développement. Africa50 regroupe sous son égide le développement et le financement de projets d’infrastructure. Africa50 affiche un solide bilan en matière d’investissements dans le secteur privé et de projets entrepris dans le cadre de partenariats public-privé (PPP).
La mobilisation de capitaux privés est essentielle pour combler le déficit de financement des infrastructures en Afrique, compte tenu notamment de la marge de manœuvre budgétaire limitée des gouvernements africains, qui représentent aujourd’hui la principale source de financement des infrastructures sur le continent.
Le Fonds d’accélération des investissements en infrastructures I d’Africa50 a été créé pour aider Africa50 à exécuter son mandat qui consiste à mobiliser des capitaux privés et à accélérer les flux d’investissements dans les infrastructures africaines, en ciblant les investisseurs privés et institutionnels.
Le directeur du Département du développement de l’industrie et du commerce de la Banque africaine de développement, Abdu Mukhtar, a relevé que l’investissement de celle-ci dans le Fonds en soulignait la nature stratégique et combien priorité est donnée à l’investissement dans les secteurs d’infrastructures stratégiques, contribunt à combler le déficit de financement des infrastructures en Afrique (de l’ordre de 68 à 108 milliards de dollars par an).
« L’investissement de la Banque va aider Africa50 à attirer des capitaux privés dans les infrastructures africaines par le biais d’un véhicule de fonds de capital investissement que les investisseurs privés comprennent mieux et dans lequel ils sont plus à l’aise pour investir », a indiqué M. Mukhtar.
À propos de cette approbation, Wale Shonibare, directeur des Solutions financières, de la Politique et de la Régulation de l’énergie de la Banque africaine de développement, a indiqué que le soutien de la Banque au Fonds d’accélération des investissements en infrastructures I d’Africa50 s’inscrivait dans la droite ligne de ses objectifs “High 5”. « Il renforce également les partenariats déjà existants de la Banque avec le groupe Africa50 sur des initiatives comme le Forum africain des investisseurs souverains et l’Alliance pour des infrastructures vertes en Afrique », a ajouté M. Shonibare.
Alain Ebobissé, directeur général d’Africa50, a déclaré : « Nous sommes très reconnaissants envers la Banque africaine de développement pour son soutien au Fonds d’accélération des investissements en infrastructures I d’Africa50. Nous nous réjouissons de continuer à travailler en collaboration avec la Banque africaine de développement et d’autres investisseurs pour apporter une contribution significative à l’amélioration du paysage des infrastructures sur le continent. »
En mobilisant des capitaux privés pour l’investissement dans les infrastructures, le Fonds d’accélération des investissements en infrastructures I d’Africa50 peut aider à créer des emplois, à renforcer l’accès aux soins de santé, à améliorer l’accès à l’éducation grâce aux technologies numériques, à améliorer l’accès aux services financiers et à renforcer l’inclusion financière grâce à des investissements dans la fintech, et à réduire l’impact des changements climatiques. Le fonds pourrait créer 3 278 emplois équivalents temps plein sur la période 2023-2035, dont 1 676 emplois pour les femmes. En outre, il devrait contribuer à favoriser l’intégration régionale grâce à l’amélioration des infrastructures de transport et de logistique, qui peut conduire à une hausse du commerce interrégional et intrarégional.
La Banque africaine de développement et ses partenaires dans le nouveau fonds continueront de fournir du capital de croissance et des capitaux propres pour les infrastructures, afin de répondre au besoin urgent d’accélérer le financement du secteur privé pour combler le déficit de financement des infrastructures en Afrique.
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Le Président ghanéen Nana Addo Dankwa Akufo-Addo ainsi que d'autres personnalités africaines et des Caraïbes seront parmi les principales têtes d'affiche des 30e Assemblées annuelles de la Banque africaine d'Import-Export (Afreximbank) (www.Afreximbank.com) qui se tiendront à Accra du 18 au 21 juin 2023.
Selon un programme provisoire publié aujourd'hui, le Président Akufo-Addo et la Première ministre Mia Amor Mottley de la Barbade feront partie d'un panel de dirigeants de haut niveau, comprenant des chefs d'État et de gouvernement, d'anciens chefs d'État, d'autres dirigeants politiques, des chefs d'entreprise, des spécialistes du commerce africain, des experts en financement du commerce, des acteurs du monde universitaire et des personnalités publiques de premier plan, qui s'adresseront aux participants à l’occasion des Assemblées annuelles d'Afreximbank (AAM2023).
Parmi les autres intervenants confirmés, figurent Olusegun Obasanjo, ancien Président du Nigeria, le Dr. Donald Kaberuka, Président du Conseil d'administration de South Bridge Group et ancien Président de la Banque africaine de développement (BAD) ; Wamkele Mene, Secrétaire général de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) ; l'Ambassadeur Albert Muchanga, Commissaire au développement économique, au commerce, à l'industrie et aux mines de la Commission de l'Union africaine ; Antonio Pedro, Secrétaire exécutif par intérim de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique ; Strive Masiyiwa, fondateur et directeur exécutif d'Econet Global et de Cassava Technologies ; Arnold Ekpe, ancien directeur général du groupe Ecobank et Président de Business Council of Africa (Conseil africain des affaires) et de Baobab ; le Dr. Vera Songwe, Présidente du Conseil d'administration de la Facilité de liquidité et de durabilité ; et David Coffey, PDG de l'Association africaine des constructeurs automobiles.
Les personnalités suivantes ont également confirmé leur participation : Ahmed El Sewedy, Président-directeur général d'Elsewedy Electric of Egypt ; Oussama Kaissi, directeur général de la Société islamique d'assurance des investissements et des crédits à l'exportation ; Florie Liser, Présidente-directrice générale du Corporate Council on Africa ; Kayode Pitan, directeur général de la Banque de l'industrie du Nigéria ; Hani S. Sonbol, PDG de la Société internationale islamique de financement du commerce ; Simon Tiemtore, PDG, Lilium Capital, et Président du groupe Vista Bank ; Samaila Zubairu, Présidente de Africa Finance Corporation (Société financière africaine) ; Rosa Whitaker, Présidente et PDG de The Whitaker Group ; Adam Molai, Président deTRT Investment ; et Mima Nedelcovych, Présidente d’AfricaGlobal Schaffer.
L'AAM2023 se déroule sur quatre jours et est placée sous le thème général « Concrétiser la vision : Créer la prospérité pour les Africains ». L’évènement sera marqué par des discours d'ouverture, des discussions de groupe, des plénières et des échanges informels sur le commerce africain, le financement du commerce et les questions de développement, y compris la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).
Les sujets de discussion incluent : L'accélération de la mise en œuvre de la ZLECAf ; Créer la prospérité pour les Africains : les défis de la paix et de la sécurité ; Que faudrait-il pour que l'Afrique se nourrisse elle-même ? - Relever les défis de la sécurité alimentaire pour un développement durable en Afrique ; Créer la prospérité : la culture et la littérature africaines comme fondement de la renaissance africaine ; Créer la vision - Perspectives d'entreprise ; et l'avenir de l'intégration en Afrique.
D'autres sessions porteront sur les thèmes suivants : Les avantages d'institutions financières continentales fortes ; Vers une vision unifiée de la prospérité des Africains ; Un nouveau passage intermédiaire par les Africains pour les Africains - Renforcer l'interconnectivité entre l'Afrique et sa diaspora pour une prospérité partagée ; De parents à descendants : Réaliser la vision du panafricanisme à travers les générations ; Le sport comme nouvelle opportunité de croissance inclusive ; Les leçons de l'histoire comme opportunité pour l'avenir - Réflexions par les Africains et les Caribéens ; Assurer la prospérité par l'industrialisation ; Tirer parti de la puissance du commerce intra-africain et de l'industrialisation axée sur les produits de base ; Tirer parti de pouvoir de la science et de la technologie à l'ère numérique ; L'union fait la force : Déployer les ressources afro-caraïbes pour le développement durable - Perspectives présentées par les autorités monétaires ; Libérer les capitaux pour assurer la prospérité des Africains ; et Trente ans à faire la différence : Réflexions d'anciens présidents.
Les Assemblées annuelles d'Afreximbank sont suivies par des chefs d'entreprise et des dirigeants politiques, des professionnels du secteur bancaire, des spécialistes du commerce et du financement du commerce et d'autres parties impliquées dans le développement économique de toute l'Afrique et d'ailleurs. Ces Assemblées, qui ont été classées parmi les plus importants rassemblements de décideurs économiques en Afrique, sont couvertes par les médias africains et internationaux.
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La première édition du GITEX Africa ouvrira ses portes dans la ville de Marrakech, au Maroc, du 31 mai au 2 juin 2023. Lieu de rencontres phare, le plus grand salon dédié à la technologie et aux start-ups d’Afrique s’est fixé comme mission de renforcer la coopération et les partenariats en matière de transformation digitale sur le continent et ainsi façonner la vision d’une économie numérique plus connectée, inclusive et durable. Parmi les acteurs clés présents à ce rendez-vous, Huawei, en tant que partenaire Platinum, réaffirme son engagement à libérer le potentiel du numérique afin de guider l’Afrique vers de nouveaux horizons encore plus prometteurs.
Sont attendus à ce sommet plus de 30 délégations gouvernementales, 250 conférenciers, quelque 250 investisseurs mondiaux et 900 entreprises et start-ups qui exposeront leurs innovations. Au cours de ces trois journées, l’ensemble des acteurs présents s’exprimeront et échangeront sur les opportunités et le potentiel illimité offerts par les nouvelles technologies, mais également sur les défis liés à la transformation numérique en Afrique, parmi lesquels la connectivité, la fracture numérique ou encore la réglementation. L’événement proposera également tout un programme de conférences inspirantes sur des sujets tels que l’intelligence artificielle, le développement durable, l’accès à l’énergie ou encore la cybersécurité.
Chez Huawei, de nombreux experts partageront leurs expertises et leurs perspectives sur le rôle que peuvent et doivent jouer les nouvelles technologies dans le futur de l’Afrique. Ainsi, Tonny Bao, Vice-Président de Huawei, prononcera un discours le 31 mai intitulé « Libérez le potentiel du numérique pour une nouvelle Afrique ». Ce même jour, Youssef Ait Kaddour, Chief Cybersecurity & Privacy Officer chez Huawei Maroc, abordera l’importance de redéfinir le rôle des Responsables de la Sécurité des Systèmes d’Information, dans un contexte où les technologies disruptives telles que le cloud computing et l’IA poussent les entreprises à se démarquer. Quant à Charlly Li, Vice-Président Cloud Ecosystem & Partner Development chez Huawei Northern Africa, celui-ci reviendra sur le Huawei Cloud Start-Up Program déployé dans plusieurs pays sur le continent afin d’accompagner et de soutenir les projets de jeunes entrepreneurs grâce à la mobilisation de ressources humaines et technologiques.
Par ailleurs, afin de renforcer les liens avec ses partenaires, Huawei organisera deux événements d’envergure, le « Northern Africa Partners Conference 2023 » et le « Huawei Cloud Northern Africa Partners ». Tous deux se tiendront le jeudi 1er juin.
Enfin, lors du GITEX Africa, l’entreprise lancera également de nouveaux produits et solutions. L’événement verra également la signature d’un Memorandum of Understanding avec le ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Économie Numérique de Guinée Conakry et Huawei.
Un dîner de gala sera également organisé le mercredi 31 mai en présence de Terry He, Président de Huawei Northern Africa, et de Colin Hu, Président Entreprise & Cloud de Huawei Northern Africa. Ces derniers s’exprimeront tout particulièrement sur la stratégie de Huawei en Afrique pour l’année 2023. Ce dîner comptera également sur la présence de participants éminents, parmi lesquels des représentants du ministère des Transports de la République de Côte d’Ivoire, de NAS Egypte, de Smart Africa, de l’Agence de Développement du Digital (ADD) du Maroc et de l’opérateur Ethio Telecom.
Faire du continent africain le centre de l’excellence numérique ainsi qu’une terre d’opportunités et d’investissements, telle est ainsi la mission de ce rendez-vous ampleur, mais également l’ambition partagée par Huawei. En participant à la première édition du GITEX Africa, l’entreprise veut ainsi promouvoir l’Afrique comme continent technologique compétitif sur la scène internationale et mettre en avant les compétences africaines dans le secteur du numérique.
A noter que Huawei est l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures de technologies de l’information et de la communication (TIC) et d’appareils intelligents.
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La première édition du Forum International des Jeunes Parlementaires Socialistes et Sociaux-démocrates qui s’est tenue du 29 au 31 mai 2023 à Marrakech (Maroc) s’est soldée par une déclaration finale qui a vu la naissance du réseau des Jeunes Parlementaires Socialistes et Sociaux-démocrates. L’intégralité du discours.
*Déclaration de Marrakech*
Nous, jeunes leaders politiques socialistes et sociaux-démocrates, réunis lors du Forum International des Jeunes Parlementaires, partageons une vision commune pour un monde meilleur, plus juste et plus durable. Nous sommes conscients des défis qui nous attendent et nous sommes déterminés à agir pour un avenir plus prometteur.
Nous défendons l'importance de l'État social pour garantir la justice sociale et réduire les inégalités. Nous appelons à des politiques publiques équitables et inclusives qui offrent des opportunités pour tous, qui protègent les plus vulnérables et qui assurent un filet de sécurité sociale solide. Nous rejetons les politiques qui accentuent les écarts de richesse et nous nous engageons à promouvoir u*ne répartition plus équitable des ressources.
Nous reconnaissons l'urgence climatique et l'importance cruciale de la durabilité environnementale. Il est de notre responsabilité de mettre en place des politiques volontaristes et disruptives pour préserver notre planète et garantir un avenir viable pour les générations futures. Nous appelons les leaders du monde à prendre des mesures audacieuses, à transcender les intérêts à court terme et à s'engager pleinement dans la transition vers une économie verte et durable.
Nous croyons fermement aux droits humains et aux libertés individuelles en tant que fondements inaliénables de toute société juste et équitable. Nous défendons l'égalité des chances, l'accès à l'éducation, à la santé et à la justice pour tous, sans aucune discrimination. Nous rejetons toute forme de discrimination et d'injustice sociale, et nous nous engageons à promouvoir activement l'inclusion et la diversité.
Nous, les jeunes socialistes et sociaux-démocrates, sommes profondément alarmés par les crimes israéliens perpétrés contre le peuple palestinien, qui ont augmenté avec l'avènement du gouvernement d'extrême droite qui pratique la violence et la discrimination raciale. Nous appelons la communauté internationale à assurer la protection du peuple palestinien et de poursuivre les responsables. Nous déclarons notre plein soutien à la solution à deux États convenue au niveau international et appelons à la réalisation des droits des Palestiniens tels que stipulés dans les pactes et les normes internationales, à commencer par l'indépendance de l'État de Palestine avec Jérusalem comme capitale. Nous affirmons notre soutien à la déclaration de la campagne « Soutenir le discours palestinien / pour la Palestine », et nous appelons nos partis et parlements à s'engager à soutenir cette campagne.
Nous insistons, au regard des multiples conflits encours à travers le monde, sur l'importance du respect de la souveraineté des États et de l'intégrité de leurs territoires, tout en favorisant la coopération internationale et le dialogue pour résoudre les différends et promouvoir la paix durable.
Nous considérons l'égalité entre les hommes et les femmes comme un impératif moral et une condition préalable à un progrès véritable. Nous encourageons la participation et l'autonomisation des femmes dans tous les domaines de la société, y compris la politique, l'économie et la prise de décision. Nous nous opposons fermement aux violences faites aux femmes et nous nous engageons à promouvoir l'égalité des sexes à tous les niveaux.
Nous condamnons fermement la culture de la haine, l'extrémisme et les fanatiques religieux qui menacent la paix et la cohésion sociale. Nous sommes déterminés à promouvoir la tolérance, le respect mutuel et le dialogue interculturel. Nous encourageons la coopération internationale pour lutter contre le terrorisme, la radicalisation et la propagation de l'idéologie extrémiste.
Nous condamnons fermement l'instrumentalisation des enfants et des adolescents dans les guerres et les conflits armés. Ces jeunes sont les victimes les plus vulnérables de ces situations violentes, mais au lieu de les protéger, certains groupes armés les force pour combattre ou les utilisent comme boucliers humains. Cela constitue une violation flagrante des droits de l'enfant et un crime contre l'humanité.
Nous sommes conscients des limites et des défis auxquels sont confrontées les organisations internationales chargées de maintenir la paix mondiale, comme les Nations Unies. Nous appelons à une rénovation et à une revitalisation de ces organisations, afin de renforcer leur efficacité et leur capacité à relever les défis actuels.
En conclusion, nous sommes conscients des défis qui nous attendent. Nous sommes prêts à assumer nos responsabilités et à agir de manière concertée pour construire un monde meilleur. Nous déclarons la création de notre réseau de jeunes parlementaires socialistes et sociaux-démocrates ici à Marrakech, pour plaider en faveur de politiques publiques, justes, durables et inclusives, et nous décidons de nommer le Groupe Socialiste-Opposition Ittihadya à la Chambre des Représentants du Maroc en la personne de notre camarade, El Hassan Lachguar, comme coordinateur de notre réseau.
Fait à [Marrakech], le [31 mai 2023]
Le président du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME), Driss El Yazami, a affirmé, mardi 30 mai 2023 à Marrakech, que la migration est une question politique instrumentalisée dans de nombreux pays et utilisée dans les campagnes électorales. S’était lors du 1er Forum international des jeunes parlementaires socialistes et sociaux-démocrates.
Intervenant sur la session portant sur "Migration globale : les enjeux du Nord et du Sud", à l'occasion du premier forum international des jeunes parlementaires socialistes et sociaux-démocrates, El Yazami a indiqué que l'instrumentalisation et la médiatisation de la question migratoire font que la migration soit associée à la crise et à la tragédie et favorisent l’ancrage de "l’image d’un nord assiégé par les pays du sud".
Le président du CCME a, cependant, relevé que quatre migrants africains sur cinq restent en Afrique, rejetant l’idée selon laquelle les personnes qui partent vers des pays riches sont toutes pauvres et défavorisées.
A cet effet, il a souligné que les pays développent des politiques pour capter les étudiants étrangers, dans le cadre de la migration pour études et la bataille à la quête de compétences hautement qualifiées, faisant observer que près de 20% des Marocains résidant à l’étranger ont un niveau d’éducation élevé (bac+6).
S'agissant de la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, El Yazami a indiqué qu’elle n’a été signée que par les pays du sud, appelant à dénoncer la xénophobie et le racisme à l’encontre des migrants.
Il a, en ce sens, mis en avant la signature en 2018 à Marrakech du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, regrettant le manque d’engouement de certains pays du nord pour le mettre en œuvre.
Le Forum international des jeunes parlementaires socialistes et sociaux-démocrates, organisé pendant trois jours par le Groupe socialiste-opposition ittihadya à la Chambre des représentants, en partenariat avec la Jeunesse ittihadya et le réseau "MENA-Latina", sous le thème "contribution des jeunes parlementaires à la promotion de politiques publiques progressistes et équitables", vise à encourager les jeunes parlementaires à se concerter et analyser les questions d'actualité et proposer des solutions novatrices et efficaces.
Mohamed Compaoré, envoyé Spécial
Pour une meilleure insertion des jeunes grâce au digital la 2ème édition du Sommet Africain des Startups et de l'Économie Numérique a été lancée. C’était le mardi 30 mai 2023, au Plateau, au cours d'une conférence de presse couplée à un panel, autour du thème: " Quels préalables pour l'essor de l'économie numérique en faveur des jeunes?".
" Economie numérique , levier de création d'emploi pour la jeunesse Africaine". C'est le thème de la 2e ëdition du Sommet Africain des startups et de l'économie numérique ( Sasen) organisé par Ci20, qui se tiendra les 08 et 09 juin 2023, au Sofitel hôtel Ivoire d' Abidjan- Cocody. Co-parrainés par Mamadou Touré, ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l'insertion professionnelle et du service civique et par Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et de l’Économie Numérique.
Selon Steven Bedi, prësident du Ci20, SASEN est le premier Business Forum, réunissant les décideurs de la Tech du monde entier pour des B2B axés sur des opportunités de transformation technologique en Afrique francophone. "Le SASEN ambitionne de mettre en accès B2B cette année plus de 100 Millions USD de projets IT avec l’appui institutionnel de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et des partenaires nationaux tels que l’Agence Emploi Jeunes (AEJ), l‘Agence Nationale du Service Universel des Télécommunications (ANSUT) ou encore l’Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC de Côte d'Ivoire (ARTCI). Ce sommet est également l’occasion pour les acteurs mobilisés de recruter des partenaires techniques dans le cadre de leurs divers projets de développement", a fait savoir.
Mis en œuvre, dans le cadre de son programme d'excellence le "Ci20 Program", par « Côte d’Ivoire Innovation 20 » (#Ci20) il entend notamment contribuer à la création de 2000 emplois en 2 ans grâce à la Tech. C’est, ainsi, dans ce cadre que le Ci20 organise la 2e édition du SASEN, sous le patronage du Président du Conseil Économique, Social, Environnemental et Culturel (CESEC) Dr Eugène AKA AOUELE et, avec l’appui institutionnel de la BOAD. "Le SASEN est un événement d'une importance capitale pour le développement de l'économie numérique en Afrique francophone. Nous sommes ravis de rassembler les startups et les investisseurs venus de toute l’Afrique francophone pour explorer les possibilités offertes par l'innovation et contribuer à la création d’emplois pour la jeunesse africaine", a-t-il indiqué.
Ce sont plus de 500 startups et décideurs, des institutionnels, des investisseurs (business Angels et VC), des partenaires au développement du secteur et des délégations issues de 8 pays dont le Bénin, le Sénégal et la France qui sont attendues à cet événement composé de panel, conférence, partage d’expérience.
Mam Ouattara
Bonne nouvelle pour la natation ivoirienne. Longtemps fermé pour des travaux de réhabilitation, le bassin de Bingerville, Dominique Ouattara est désormais fonctionnel. La cérémonie de réouverture organisée, le mercredi 31 mai 2023, a permis de se rendre compte du travail abattu par l’Office national des sports (Ons) dirigé par Koné Mariame Yoda.
Après 20 mois d’intenses travaux portant sur le revêtement complet du bassin, de la plage, la révision des moteurs et des filtres du local technique, la rénovation des vestiaires, l’électricité, la plomberie et la pose de sièges dans la tribune d’une capacité de 136 sièges, la piscine Dominique Ouattara a été livrée pour le grand bonheur des populations au cours de la cérémonie de ce jour, mercredi 31 mai 2023, présidée par le Ministre des Sports.
Les travaux de réhabilitation ont permis d’améliorer les capacités d’accueil du bassin a été relookée avec ses 12,5 x 25m sur une profondeur de 3,25m pour le grand bassin et 0,70m pour le petit, cette infrastructure dédiée à la natation a une capacité 617,1m3 d’eau.
‘’Pour la première fois en Côte d’Ivoire, un recrutement de 5000 jeunes dans les métiers du sport a été autorisé par le gouvernement, dans le cadre de l’école de la deuxième chance comme il a été mentionné tout à l’heure. L’opération sera lancée dans les prochains jours et je voudrais exhorter depuis Bingerville, toutes les jeunes filles et tous les jeunes gens de notre pays, à saisir cette grande opportunité’’, a déclaré le ministre des Sports, Daho Paulin.
Dans son élan, le premier responsable des Sports en Côte d’Ivoire, a rappelé l’ambition du gouvernement à faire du sport un levier important et une source de création d’emplois. ‘’Le sport aussi s’ouvre totalement à vous comme rampe de lancement par les investissements importants qui sont réalisés. Soyez donc attentifs et engagez-vous. je vous invite, populations de Bingerville, à fréquenter votre superbe piscine qui porte le prestigieux nom de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara. Faites bon usage de cet espace de vie et faites-en sorte qu’il contribue fortement à la consolidation de la cohésion sociale, du vivre ensemble et de la paix, gage de tout développement harmonieux’’, a-t-il fait savoir.
Pour sa part, le ministre de la Promotion de la jeunesse et du service civique, Mamadou Touré a salué les efforts du ministère des sports qui sont d’une grande aide dans la mise en œuvre des programmes dédiés à la jeunesse. ‘’l’événement qui nous réunit ce jour s’inscrit parfaitement dans la vision du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui a dédié cette année 2023 ‘’l’année de la jeunesse’’.Cette année ce sont 316 millards de Fcfa qui sont déboursés pour impacter 700.000 jeunes. Je me réjouis de la réouverture de la piscine Dominique Ouattara qui reflète l’image de la Première damé’’, a-t-il indiqué.
En marge de la réouverture de ce joyau architectural une compétition de natation a eu lieu qui a vu trois vainqueurs, que sont : Kouassi Yao Nathan qui a raflé la 1er place (33s32c), Brema Elie classé 2ème (35s82c) et se place en 3ème position Brema Prince (37s07c).
Créée en 1974, la piscine municipale de Bingerville, c’est en 2012 qu’il a été baptisée au nom de Piscine Dominique Ouattara de Bingerville.
Mam Ouattara
L'Agence togolaise d'identification, ANID-TOGO, s'est associée à Atos et IDEMIA pour construire un système national d'identité électronique biométrique basé sur la plateforme MOSIP (Modular Open Source Identity Platform). Atos et IDEMIA concevront, construiront, testeront et mettront en œuvre une solution biométrique nationale d'identification électronique pour le Togo, basée sur la technologie de reconnaissance de l'iris, du visage et des empreintes digitales.
Ce projet fait partie du programme d'identification unique en Afrique de l'Ouest pour l'intégration et l'inclusion régionale (WURI), doté d'un budget global de 500 millions de dollars financé par la Banque mondiale.
La solution d'Atos et d'IDEMIA comprendra un portail citoyen, une application mobile, des solutions en cybersécurité, un système biométrique central, des kits d'enrôlement et un système de personnalisation pour les nouvelles cartes d'identité électroniques. La solution clé en main intégrée de bout en bout sera construite sur une infrastructure robuste et évolutive qui peut répondre aux besoins actuels et futurs du gouvernement togolais. Le projet mettra l'accent sur un engagement local et le transfert de compétences avec l’ouverture d’une filiale d’Atos au Togo pour assurer le transfert de connaissances et de compétences au personnel local en vue d'une durabilité à long terme.
Alpha Barry, Directeur général d'Atos Afrique, a commenté : "Nous sommes honorés de travailler avec le gouvernement togolais et ses partenaires sur ce projet essentiel. La solution biométrique d'identification électronique jouera un rôle crucial dans la transformation numérique et le développement national du Togo. Atos s'engage à fournir une solution fiable et sécurisée qui répond aux besoins du gouvernement et des citoyens. Nous sommes fiers de mettre à profit notre expertise en biométrie, cybersécurité et transformation numérique pour soutenir les ambitions du Togo et contribuer à un monde plus inclusif et connecté."
Mazen Hamadallah, SVP d'IDEMIA pour le Moyen Orient et l'Afrique, a ajouté : "Nous sommes ravis de nous associer à Atos pour fournir une solution d'identification électronique biométrique au Togo. L'expertise de longue date d'IDEMIA contribue à la mise en œuvre des changements substantiels actuellement en cours dans le domaine de l'identification numérique. Ayant mis en œuvre avec succès plus de 200 systèmes en ligne et hors ligne à travers le monde, nous nous engageons à tirer parti de notre technologie biométrique et de notre expertise pour aider les gouvernements et les institutions à atteindre leurs objectifs. Avec ce projet, nous sommes impatients de soutenir la transformation numérique du Togo et d'améliorer la vie de ses citoyens".
"La mise en place d’un système d’identification unique, robuste et fiable est un impératif conformément à la feuille de route gouvernementale 2020-2025 sur laquelle est inscrit le projet eID - en première position des 42 projets et réformes prioritaires », selon l’ANID- TOGO.
Le Togo s'est fixé des objectifs élevés en matière de croissance économique et de développement, en mettant l'accent sur le renforcement de l'inclusion sociale et de l'harmonie pour la consolidation de la paix. La numérisation de l'économie est essentielle pour atteindre ces objectifs. En dotant chaque citoyen et résident d'une identité biométrique, le Togo se positionnera comme une référence régionale en matière de technologie numérique, affirmant ainsi sa place en tant que centre de logistique et de services.
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